you give love a bad name ✖ ROLLING

Jailis-Keegan Rolling


© tumblr

I think I should know how to make love to something innocent without leaving my fingerprints out, now , L-O-V-E's just another word I'll never learn to pronounce how do I say I'm sorry 'cause the word is never gonna come out no ♫♪

1, 2, 3 nous irons aux bois , dis-nous un peu plus sur ton personnage

Bon, j’ai entendu qu’il fallait que je me présente, alors allons-y. Moi c’est Jailis-Keegan Rolling enfin anciennement Sands-Allan mais j'ai eu l'excellent idée de changer de nom de famille en faveur de celui de ma très chère mère. Je sais, j'ai eu raison, avec la famille que j'ai, ce nom aurait entaché ma réputation. M'enfin je suis plus connu sous des surnoms tels que Jailis, Jay , Keegan ou encore Rolling. Je compte actuellement vingt-deux pommes d’amour et toutes mes dents, toutes blanches ( ce qui n'est pas une mince affaire de les garder intactes pour un fumeur et ma plantation a commencé le dix-sept janvier mille-neuf cent quatre-vingt huit à Philadelphie. Maintenant, je réside à Philadelphie mais à l'opposé de ma folle dingue de sœur et de notre détritus de géniteur. Pour éviter de glander dans mon canapé à longueur de journée, dans la vie je suis chômeur et disons que c’est mon truc. En effet je glande bien dans mon canapé à longueur de journée - enfin plutôt dans celui de ma meilleure amie pour être honnête. Mais je compte me remettre à travailler bientôt, quand j'aurais la motivation. J’allais oublier de préciser que j’étais célibataire et je le vis bien –si je vous assure. Etre célibataire est tout simplement la meilleure chose qu'il puisse m'arriver. Les filles ne sont source que de problèmes , un point c'est tout puis ça permet de se diversifier avec différentes filles si vous voyez ce que je veux dire. Enfin, je fais partie des I don't give a damn about it tout simplement car Noël est un ramassis de connerie, une fête purement commerciale et que la famille c'est juste synonyme de galère. Vous allez très vite m’apprécier… ou pas !


4, 5, 6 ceuillir des cerises , viens tester tes connaissances...

QUELLE EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE TU FAIS LE MATIN ? Oula. Excellente question. Etant donné que je suis dans un tel état de léthargie lorsque je me réveille le matin, il m’est très difficile de me souvenir concrètement de la première chose que je fais en ouvrant les yeux. Je m’étire sauvagement je pense. Donne deux trois coups au passage à ma meilleure amie, … (oui je dors avec elle, je suis un homme chanceux pas vrai ?) me lève, baille, m’étire à nouveau, me regarde dans le miroir, souris, puis descend aux toilettes, histoire de soulager ma vessie. Je crois bien que c’est ça oui. Ma vie est tout simplement géniale. POUR QUELLE OCCASION VOIS-TU DES POISSONS COLLÉS DANS LE DOS DES GENS ? Est-ce que c’est moi ou bien cette question est vraiment étrange ? Je dirais peut-être le 1er Avril. Et encore ça n’est pas vraiment bon délire. Mais après tout pourquoi pas. Les humains inventent des fêtes vraiment étranges vous ne trouvez pas ? QUELS SONT LES TROIS CHOSES QUE VOUS EMMÈNEREZ SUR UNE ÎLE DÉSERTE ? Ma meilleure amie, parce qu’on est en symbiose tous les deux et que l’on nous sépare jamais. Certes on passerait nos journées à nous courir après, un bâton à la main pour faire payer à l’autre et à se crier dessus à n’en plus avoir de voix mais qu’est-ce qu’on s’amuserait. Et puis si la race humaine avait disparue, il vaudrait mieux que ce soit deux personnes magnifiques qui repeuplent toute la terre. J’emmènerais surement un ballon de foot, histoire de m’occuper, soit en jouant avec soit en coloriant un visage dessus afin d’avoir une personne à qui parler. Pour finir, j’emmènerais surement un sac de deux kilos de Chips car j’ai faim et j’ai un appétit d’Ogre. ici

DONNES-NOUS TROIS QUALITÉS ET DÉFAUTS DE TON PERSONNAGE réponse ici QUEL EST TON PLAT FAVORI ? réponse ici SI VOUS ÉTIEZ UN ANIMAL SE SERAIT LEQUEL ? réponse ici

10, 11, 12 elles seront toutes rouges ! , et enfin, qui se cache derrière ton écran ?

© BRAIN-LEECH

TON PETIT NOM ๑ Fanny TON PSEUDO ๑ delightful TON ÂGE ๑ 1572 ans - c'est une vie étonnamment longue pour un rat des champs (HARRY POTTER EST EN MOI ! - ne cherchez pas je suis folle ) TON AVATAR ๑ IAN SOMERHALDER dit le plusmegatropbeaudelaterreentièreetdel'univers ! ♥♥ TA FRÉQUENCE DE CONNEXION ๑ H24 je suis une grosse baleine de GEEKETTE ! OU AS-TU TROUVE CE FORUM ๑ DTC (a) TON AVIS SUR LE FORUM ๑ Il déchire sa race ! TA DÉDICACE ๑ cace-dédi à tous mes potos du 9-3 ! SISI t'inquiète !

7, 8, 9 dans mon panier neuf , tu as bien des choses à nous raconter




Pendant que les parents s’adonnaient à des conversations adultes sur l’avenir de leurs progénitures, ces derniers jouaient dans le jardin. La famille de Meadow et celle de Jailis se voyaient très souvent. Une semaine sans se raconter leur vie autour d’un café était une semaine ratée. De ce fait, Meadow et Jailis ainsi que la sœur jumelle énervante du jeune garçon, se voyaient très souvent. Jailis avait fait croire à sa sœur qu’ils jouaient à cache-cache pour se débarrasser d’elle pendant qu’elle irait se cacher. De ce fait il se retrouvait avec Meadow qui était rapidement devenue la meilleure amie qu’il puisse avoir. Les deux enfants étaient tous les deux assis dans l’herbe cachés derrière la voiture du père de Jailis. « J’en ai marre d’habiter chez moi, je crois que je vais partir Meadow ! Mon père ne fait que de crier sur ma mère et une sœur aussi chiante qu’Ana, il n’y a pas. Elle est tellement collante ! » Fit Jailis alors qu’il s’était allongé sur l’herbe aux côtés de sa meilleure amie. Meadow se tourna vers son ami, un petit sourire aux lèvres qu’elle arborait à chaque fois qu’elle était en présence de Jailis. « Si tu veux je viens avec toi ! Mes parents ne s’apercevront même pas que je suis parti. » Affirma-t-elle en se nouant les cheveux entre ses doigts. Jailis se mit sur le côté, afin de voir sa meilleure amie, son sourire s’élargissant. « La famille c’est nulle ! On devrait prendre nos affaires et partir tous les deux ! On vivrait dans une grande maison avec un chien et on aurait plein d’enfants ! » Continua Jailis alors qu’il regardait le ciel, comme si ce qu’il disait n’était qu’un rêve qui ne se réaliserait surement jamais. Les deux enfants souriaient. Leur naïveté était belle à voir. Meadow enleva la petite gourmette qui ornait son poignet. Elle tendit alors sa main vers Jailis. « Tiens c’est pour toi ! Si jamais on venait à être séparé, comme ça tu penseras toujours à moi ! » Dit-elle alors avec les yeux brillants. Jailis sourit et prit la gourmette. Il enlaça son amie avant de lui donner la sienne. Ils s’accrochèrent leurs gourmettes mutuelles à leurs poignets. « J’ai entendu ma mère dire à la tienne qu’on finissait toujours avec son meilleur ami, tu crois qu’on sera marié plus tard ? » demanda Meadow en reprenant la parole. Avant que Jailis ait pu répondre quoi que ce soit, la voix de sa mère retentit de la cuisine. « Les enfants, dites au revoir à Meadow on s’en va ! » criait-elle aussi fort qu’elle le put. Jailis se tourna une dernière fois vers Meadow, puis s’approcha de son oreille, afin de lui chuchoter quelque chose. « Je suis sûre que oui. » murmura-t-il avant de lui déposer un baiser sur la joue afin de lui dire au revoir. Puis avec un signe de la main, le jeune homme rejoignit sa mère et sa sœur pour regagner le domaine familiale.


Quelques années plus tard, alors que les deux enfants arrivaient à l’adolescence, Jailis déboula dans la maison de Meadow tel un vagabond. Il dévala les escaliers et entra dans la chambre de sa meilleure amie sans même frapper. Oui, c’était habituel. Jailis passait son temps chez Meadow et ça avait toujours était ainsi. Il se rua sur le lit et regarda Meadow dans les yeux, comme si il allait la demander en mariage. « Qu’est-ce que tu as ? Tu me fais peur ! Pourquoi est-ce que tu me regardes comme ça ? » Demanda-t-elle alors prise de panique par l’attitude de son ami, pour le moins étrange. « Il faut que je te demande un service Mead’ » dit-il alors que la jeune fille le regardait d’un air soupçonneux. C’était rare que le jeune garçon lui demande des services qui avaient l’air important du moins. Il avait toujours l’habitude de se débrouiller seul, parfois de se refermer sur lui-même d’ailleurs. Meadow arqua alors un sourcil. « Demande … » dit-elle alors méfiante. Ils n’avaient que onze ans, mais Jailis avait déjà la fâcheuse tendance à se retrouver dans des histoires pas possibles. Elle s’attendait à tout, sauf peut-être à ce qui allait suivre. « Embrasse-moi ! » lâcha-t-il alors comme s’il n’avait pas respiré depuis une heure. En effet, Meadow ne s’y attendait pas du tout. Elle écarquilla les yeux ne comprenant pas vraiment le pourquoi du comment. « Tu as bu ? » demanda-t-elle alors que le jeune homme était des plus sérieux devant elle. Elle se mit alors à rire pensant que c’était une blague. Mais aucun sourire ne s’afficha sur le visage de Jailis. « Je ne rigole pas Meadow, embrasse moi ! » La jeune femme se stoppa net de rire. Laissant rapidement tomber son sourire. Elle était tellement surprise qu’elle ne savait pas vraiment comment réagir face à l’attitude de son meilleur ami. Elle le connaissait depuis toujours mais il arrivait toujours à la surprendre. Un long silence suivit les paroles du jeune homme. Meadow respira profondément puis elle fit. « D’accord ! » Un léger sourire qu’elle voulait discret s’afficha sur son visage. Elle avait toujours secrètement rêvé de ce moment. Jailis sourit lui aussi à son tour, laissant tomber son sérieux d’il y a encore quelque seconde. Il se mit alors en face de Meadow. « Ahh merci ! Tu me sauves, j’ai rendez-vous ce soir avec Paloma, et il faut absolument que je m’entraine à embrasser comme un dieu. Après tout, ça n’est pas n’importe qui ! Elle est tellement belle ! » Dit-il alors faisant directement tomber le sourire de Meadow. Elle n’en revenait pas. Le jeune homme continuait de faire l’éloge de cette Paloma, cette fille que Meadow détestait. Meadow ne l’écoutait plus. Elle soupira, regardant dans le vague. Elle avait bien envie de lui mettre une claque mais pas question de se rabaisser en lui montrant qu’elle aurait aimé être à la place de cette Paloma. Il parlait, parlait encore et toujours. Elle perdait patience. « Bon ! Tu m’embrasses ? Je n’ai pas que ça à faire moi tu vois ! » Lâcha-t-elle sèchement. Jailis s’arrêta alors, repris sa respiration, ne tenant pas compte du ton pour le moins méchant de son amie et l’embrassa. C’était un moment que les deux jeunes gens ne seraient pas près d’oublier. On n’oublie jamais son premier baiser après tout. Mais si ce baiser s’était avéré très agréable que ce soit pour Meadow ou même pour Jailis, celui-ci ne signifiait au final pas grand-chose. Mis à part peut-être le fait qu’une semaine plus tard, Jailis et Paloma était officiellement ensemble. Et si les choses s’étaient arrêtées là… En effet, on n’oublie jamais vraiment ses premières fois. En effet, c’est avec Jailis que Meadow perdit sa virginité, pour « tester avant de réellement consommer » comme avait dit Jailis. Ils prirent leur première cuite ensemble, leur premier joint, et toute autres première fois. Parce qu’être meilleurs amis, c’est à ça que ça sers.

Près de dix ans plus tard, les choses n’avaient guère changées. Jailis et Meadow étaient toujours meilleurs amis. Plus que jamais. Ils avaient fait toutes leur première fois ensemble. Et ils venaient d’en ajouter une à leur compteur. Première fois qu’ils habitaient avec quelqu’un d’autre que leurs parents. « ROLLING ESPECE DE PETIT CRETIN FINI ! » cria Meadow sortant de la salle de bain telle une furie. Jailis était allongé, enfin affalé serait le qualificatif qui conviendrait le mieux à sa position, sur le canapé rouge sang de Meadow. En effet, cela faisait à peine deux jours que Jailis était venue emménager provisoirement chez sa meilleure amie. Il n’avait pas de job et avait décidé de quitter sa famille, pour des raisons évidentes. Allez savoir comment il avait fait pour tenir jusque là. Celui-ci jouait tranquillement à un jeu vidéo débile lorsqu’il entendit les cries de la jeune femme. Il ne prit pas la peine de la regarder. Il l’a connaissait, elle et son côté hyper hystérique à toujours exagérer. « JAILIS JE TE PARLE ! Tu pourrais au moins fait l’effort de te retourner ! Je te ferais dire que j’ai eu l’extrême gentillesse de t’accueillir dans mon appartement alors que tu étais à la rue alors tu vas te retourner et m’écouter ! » Criait-elle dans tout l’appartement. Juste derrière Jailis qui avait finit par lever les yeux au ciel puis se retourner vers elle, lui répondit avec toute la tranquillité qu’il soit : « Je t’écoute ! » Jailis avait mit en pause son jeu et avait les yeux rivés sur sa meilleure amie, qui éprouvait bien de la satisfaction d’avoir réussit à capter entièrement l’attention du jeune homme. Il faut dire que lorsqu’il joue aux jeux vidéo celui là, c’est un peu comme quand une fille est calée devant sa série préférée. Cela étant dit, maintenant que Meadow avait l’attention de son meilleur ami, elle allait lui passer le savon qu’il devait avoir. « Bon, de un, tu devrais être reconnaissant d’avoir accepté que tu vives avec moi, car si ça ne tenait qu’à moi je vivrais seule et je serais très bien ! Ensuite, je sais que tu n’as pas l’habitude de ne pas pourrir la vie des personnes avec qui tu habites mais si tu pouvais ranger tes affaires ! Y’en a partout ! Un vrai dégueulasse ! Et pour l’amour du ciel, baisse cette lunette des toilettes ! » Disait-elle alors en commençant son récit de tout ce qui n’allait pas dans l’attitude de Jailis dans leur cohabitation. En effet, Jailis n’avait jamais fait attention aux personnes avec qui il habitait lorsqu’il vivait encore chez son père, mais s’il n’avait pas envie que Meadow la vire de chez elle, il fallait qu’il se tienne à minimum à carreaux. « Je ferais des efforts. » dit-il alors avant de se retourner vers la télévision et de continuer son jeu. Quelque peu surprise, la jeune femme souris alors, satisfaite d’avoir obtenue gain de cause si facilement. Mais elle connaissait Jailis, elle savait qu’il disait toujours ce qu’elle voulait entendre pour la faire taire. Elle reprit alors : « Oh tu le dis là, mais je te connais, tu vas encore laisser tes fringues partout, ne jamais faire la vaisselle, utiliser l’eau quand je suis dans la douche, utiliser tout le rouleau de papier toilette sans en remettre un nouveau … » Meadow continuait son récit sans que Jailis ne l’écoute réellement. Cependant sa petite voix criarde lui donna mal à la tête au bout d’un certain temps. Il soupira, mit à nouveau son jeu en pause et se leva. Il se rua vers Meadow et l’embrassa. Elle se tue, prise de court. Il s’éloigna alors et partie vers la cuisine. La jeune femme resta immobile sans faire un geste pendant quelques secondes , puis comme si elle revenait à la vie , elle se leva violemment et marcha d’un pas décidé vers la cuisine, lieu où se trouvait Jailis. « Pourquoi est-ce que tu as fait ça ? » criait-elle presque comme si Jailis était sourd. Celui avait le nez de le frigo, il en ressorti une bière et passa tranquillement à côté d’elle. Il lui répondit alors sans la regarder, retournant vers le canapé. « Fallait bien te faire taire. » dit-il alors comme si c’était quelque chose de toute à fait normale à faire. Jailis s’effondra sur le canapé et remis son jeu en route. Il prit une gorgée de sa bière puis ajouta à voix basse, sans savoir si Meadow pouvait entendre ou non. « Puis, j’en avais envie. »






Quelques semaines plus tard, les choses s’étaient arrangées entre les deux jeunes femmes. C’est pour cela que Charless vint rendre visite à sa meilleure amie ce jeudi soir. Elle frappa à la porte de son appartement et à son plus grand regret, ce ne fut pas Meadow qui ouvrit la porte mais Jailis, son pire ennemie en personne. Son sourire pourtant resplendissant descendit aussi vite qu’il était arrivé. « Jailis. » dit-elle alors sur un ton des plus déçu. Ce que Jailis trouva plutôt amusant en fait. Il aimait Charless autant qu’elle l’appréciait mais il avait cette manie de toujours chercher la jeune fille, afin de la pousser à bout, allez savoir pourquoi. « Tiens tiens Charless, que me vaut cette agréable visite, je te manquais c’est ça ? Tu ne peux décidemment pas de passer de moi c’est ça ? » Dit-il alors en s’appuyant contre la porte avec un petit sourire mesquin comme il adorait arborer. Charless le poussa alors afin d’entrer dans l’appartement tout en disant. « Ne prends pas tes rêves pour la réalité crétin, je viens voir ma meilleure amie, elle est où ? » dit-elle alors en regardant l’appartement qui ne contenait malheureusement pas Meadow. Elle se tourna alors vers Jailis qui refermait la porte avant de s’avancer vers Charless. « Elle est sorti, mais je suppose que tu le savais déjà, puisqu’au fond de toi c’est moi que tu voulais voir, avoue ! » Il souriait. Comme un crétin. Comme d’habitude en effet, il avait cette manie a toujours être fière de lui et de ses vannes quelque peu puériles. Charless leva les yeux au ciel. « Non désolé mais ceci n’est que l’un de tes fantasmes Rolling, qui voudrait venir voir un petit crétin prétentieux dans ton genre, franchement ? » lâcha-t-elle alors avec toujours autant de gentillesse. Jailis grimaça avant de répondre à son tour : « Aoutch, ça c’était méchant. Tu vas finir par me vexer Charless hein ! » Il s’approcha alors de la table où avait prit place Charless qui était décidée à attendre sagement sa meilleure amie. Ce qui n’était pas forcement le meilleur choix, connaissant Meadow elle serait capable de revenir que le lendemain matin. Puis il s’assit à son tour, en face de la jeune fille, et il la regarda. « Alors Ainsworth, explique-moi pourquoi tu me voues une telle haine depuis tout ce temps ? Je suis pourtant quelqu’un d’agréable, d’avenant et vraiment joviale non ? » Le jeune homme posa alors son menton sur ses deux mains tout en regardant son interlocutrice avec un sourire faussement sympathique. Plus hypocrite tu meurs. La jeune femme le regardait d’une façon différente. Elle n’avait rien d’hypocrite, en effet elle montrait clairement sa haine au grand jour. Pas besoin de faire des manières. Elle arqua alors un sourcil et lui répondit : « Tu veux vraiment que je te fasse le listing de tout ce que je déteste chez toi ? » dit-elle alors en se levant de table et en partant vers la cuisine, histoire de se servir un verre d’eau. Elle connaissait l’appartement aussi bien que sa propriétaire et avait prit l’habitude de faire comme chez elle depuis que Meadow avait emménagé dans l’appartement. Elle revint alors avec son verre d’eau dans la pièce. Jailis acquiesça alors d’un signe de tête pour répondre à sa question. Il avait hâte de savoir tout ce qui lui déplaisait. Ca allait être amusant à entendre. Jailis croisa les bras, regardant la jeune femme, se mettant en position ‘écoute’. La jeune femme fut quelque peu surprise mais s’exécuta : « Ok, comme tu voudras. Alors déjà tu es dégueulasse, je ne sais pas si tu venais souvent chez Meadow avant mais ça n’avait rien à voir avec ça, tu laisses tes fringues partout, tu laisses des cadavres de bières sur sa table basse, tu baisses jamais la lunette des toilettes et en plus de ça tu ne fais jamais la vaisselle, regarde l’évier est plein ! » Commença-t-elle alors en parlant si vite que Jailis avait quelque peu du mal à la suivre. Il hocha alors la tête avec une petite moue, histoire de lui faire comprendre qu’elle pouvait enchainer. Charless reprit alors : « Ensuite, et bien tu es un parasite ! Tu passes ton temps à monopoliser Meadow alors je n’ai même plus de temps pour la voir ! Tu squattes chez elle en étant sans gène et tu n’as même pas de boulot ! » Continuait-elle alors que Jailis se leva de la chaise pour s’avancer doucement mais dangereusement de Charless. « Il y a autre chose ? » dit-il alors à voix basse tout en continuant de s’approcher d’elle. « Et bien tu es prétentieux, tu ne fais que tu parler de toi ! » dit-elle alors prenant quelque peu peur de l’approche du jeune homme. En effet celui-ci était de plus en plus proche d’elle. « Encore ? » dit-il pour lui faire comprendre de continuer son listing de ses meilleures qualités. Elle avala difficilement sa salive puisque le jeune homme se trouvait maintenant tout prêt d’elle et elle n’avait pas d’issue, étant complètement plaquée sur le mur. « Tu es complètement égoïste ! Tu ne penses qu’à ton bien être personnel ! » Dit-elle alors avec beaucoup moins de conviction bizarrement. Jailis se rapprocha encore. Se trouvant dorénavant qu’à quelques centimètres du visage de la jeune femme. « C’est tout ? » demanda-t-il alors avec un léger sourire sur les lèvres. « Non, tu te crois irrésistible et tu penses que toutes les filles sont … » elle ne termina pas sa phrase. Elle fut comme prise d’une pulsion un peu étrange et inexplicable. Elle l’embrassa. Il l’avait bien cherché. Il prolongea le baiser passant sa main sur sa nuque et l’attirant doucement vers la chambre. Chambre de Meadow, sur le lit de Meadow, avec les draps de Meadow. Oh si elle savait ce que Jailis et Charless s’apprêtait à faire dans son lit elle serait surement revenue plus tôt.




Quelques jours étaient passés depuis « l’incident » dans l’appartement de Meadow- qui n’était bien entendu toujours pas au courant. Charless et Jailis avaient prit le soin de ne pas se croiser depuis ce jour-là. Sans savoir pourquoi ils avaient fait ça et surtout comment leur haine en était venue à un tel résultat, chacun pensait secrètement à l’autre dans son coin. Et figurez-vous-même que Jailis n’avait pas été faire la fête ni quoi que ce soit. Il n’avait pas ramené de fille et était resté tranquillement terré dans l’appartement de Meadow, ce que Meadow s’inquiéta d’ailleurs. Il était fréquent que le jeune homme reste l’après-midi, n’ayant pas d’emploi, mais il passait presque tous les soirs dans différentes fêtes où il rencontrait toujours une fille différentes. Cette semaine, il ne sortit aucun soir. Meadow ne pouvait que s’en satisfaire. Il l’aida même à faire la vaisselle, c’est pour dire. Jailis se trouvait dans le divan, jouant comme ça son habitude à son jeu vidéo débile, mais il ne se faisait pas prier pour écouter la conversation téléphonique de Meadow. Surtout qu’elle conversait avec sa meilleure amie, qui n’était autre que Charless. « Ne me dis pas que c’est pas vrai ! Charless tu es tellement chanceuse ! Tu te l’ais fait ? C’était comment ? Raconte moi tout, il est bon au lit ? » Disait Meadow, criant presque dans le combiné tellement elle était hystérique. Jailis mit en pause son jeu. Soupira, puis se leva. Il prit sa veste et claque la porte d’entrée après en être sortie, sans donner la moindre explication à Meadow. Celle-ci le regarda partir, étonnée, mais laissa couler. Il pouvait avoir des réactions étranges parfois et disons que sa conversation téléphonique l’intéressait plus que les sautes d’humeur de son meilleur ami. Jailis marchait dans les rues de Philadelphie sans trop savoir où il allait. Il ne savait pas vraiment pourquoi il avait réagit de la sorte. Après tout, il ne sortait pas avec elle. Et ils étaient censés se détester. Leurs ébats dans le lit de Meadow ne signifiaient rien du tout. Du moins pas plus que les autres filles. Enfin c’est ce qu’il se disait. Il secoua la tête soupirant. Il se trouvait sur la place Washington lorsqu’il entendit une voix connue. « Oui, on se voit ce soir Meadow, Bisous » Jailis se tourna. Et comble du hasard, Charless se trouvait assise sur un banc et venait de raccrocher son téléphone. Jailis hésita. Mais l’envie d’aller lui dire ce qu’il pensait de son attitude fut plus forte. Il s’avança alors vers elle, arborant à nouveau son sourire remplie d’hypocrisie. Charless leva les yeux et fut surprise de voir Jailis. Quelque peu gênée par ce qu’il s’était passé et prise de surprise la jeune femme bégayait. « Jailis ? Qu’est-ce que … qu’est-ce que tu fais là ? » Dit-elle alors. Jailis lui trouvait la situation plutôt amusante du coup. Il mit les mains dans ses poches et haussa les épaules. « Je passai par là puis je t’ai vu, et comme je suis quelqu’un de poli je suis venu te dire bonjour. Mais j’imagine que tu aurais préféré voir quelqu’un d’autre ! » lui dit-il alors. Cette phrase était pleine de sous-entendu que la jeune fille ne comprit guère. Enfin elle espérait se tromper sur ce qu’il sous-entendait. « Qu’est-ce que tu veux dire par là ? » demanda-t-elle alors en fronçant les sourcils. Jailis leva les yeux au ciel. Ce qu’elle pouvait ne rien comprendre. « Et bien tu espérais surement voir ce bel Apollon avec qui tu as passé la nuit genre hier soir ? » dit-il avec un grand sourire les plus faux qu’il soit. Et cela n’importe qui aurait pu le remarquer. Charless fut quelque peu surprise qu’il sache ça. Mais après tout il vivait avec Meadow et il était son meilleur ami alors après tout elle savait d’où venait les fuites. « Comment est-ce que tu … Mais attends tu es jaloux ? » demanda-t-elle alors prenant conscience du ton qu’il prenait et du sourire faux qu’il arborait. Elle croisa les bras avec un petit sourire fier, comme si elle venait de déceler quelque chose chez Jailis. Celui-ci lâcha un petit rire. « La bonne blague ! Pourquoi je serais jaloux dis-moi ? Parce qu’on a couché ensemble ? Ca va je couche avec des filles différentes tous les soirs ! On est pas ensemble, tu n’es qu’une de plus. Et puis bon, pour ta gouverne, tu as encore beaucoup à apprendre, sexuellement parlant ! » Dit-il alors en partant sans même attendre que la jeune femme ne puisse répondre. Quel acteur !

JE T'AIME BOMBE DE MA VIE
T'es toujours aussi hot avec Ian, incroyable

Bah de toute manière plus le temps passe, plus je me rends compte que vous êtes inséparables. Genre ils disent dans les magasines que le cœur d'Ian est encore à prendre. N'importe quoi, son cœur t'appartient
Dianna c'est trop la vie

Jailis-Keegan Rolling a écrit:

TA DÉDICACE ๑ cace-dédi à tous mes potos du 9-3 ! SISI t'inquiète !

OUECH' GROSSE

Sale tasse-pé Ian est trop bandant. il te va tellement bien quoi