CAPPIE ✿ Somewhere over the rainbow.

**๑ Messages** : 12 **๑ Date d'inscription** : 29/12/2010

Cappie Romilda Burkley

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On ira voir au clair de lune, voir si le diable veut danser, si dans nos yeux brûle l'écume, de ces océans enflammés, puisqu'ici les dieux nous condamnent, au nom de qui au nom de quoi, viens trouver la paix. Moi j'irai tuer mon père, non je ne suis pas un ange; s'il faut toucher la lumière, en ces jours étranges. Comme un soleil de fin de siècle, qui se couche entre tes bras, demain je m'en irai peut-être, si tu viens avec moi.

1, 2, 3 nous irons aux bois , dis-nous un peu plus sur ton personnage

Bon, j’ai entendu qu’il fallait que je me présente, alors allons-y. Moi c’est Cappie Romilda Burkley enfin plus connu(e) sous Cappie tout court. Je compte actuellement 19 ans pommes ~~d’amour~~ et ma plantation a commencé le quinze juillet dix-neuf-cent-quatre-vingt-onze. à Bethel ( etats unis ). Maintenant, je réside à Philadelphie. Pour éviter de glander dans mon canapé à longueur de journée, dans la vie je suis "tudiante en photographie et disons que c’est mon truc. J’allais oublier de préciser que j’étais sur le point de me marier et je le vis bien –si je vous assure. Enfin, je fais partie des I DON'T GIVE A DAMN ABOUT IT et vous allez très vite m’apprécier… ou pas !

4, 5, 6 ceuillir des cerises , viens tester tes connaissances...

QUELLE EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE TU FAIS LE MATIN ? La toute première chose, c'est m'assuré qu'il est effectivement l'heure pour que je quitte ma copine la couette. Après, je fais comme tout le monde, je passe par la case toilette, et puis je mange mon bol de céréales a 0% de matières grasses. Avouez, vous c'est pareil. POUR QUELLE OCCASION VOIS-TU DES POISSONS COLLÉS DANS LE DOS DES GENS ? Une fois, je faisais du poisson pané pour Siobhan, et puis, il m'énervait, il disait des trucs pas intéressant, alors je lui est lancé dessus. Je sais pas si son poisson il était collé dans son dos, mais moi ça m'a bien fait rire. Y a pas besoin d'occasion particulière pour ça, faut juste que Siobhan soit un peu chiant. QUELS SONT LES TROIS CHOSES QUE VOUS EMMÈNEREZ SUR UNE ÎLE DÉSERTE ? Mon appareil photo en premier, un paquet de cigarettes histoire de mourir intoxiquée, et puis des allumettes, pour me permettre de mourir intoxiquée, et puis peut être aussi pour allumer un feu ou un truc dans le genre.
DONNES-NOUS TROIS QUALITÉS ET DÉFAUTS DE TON PERSONNAGE lunatique ; impulsive ; sauvage ; colérique
sensible ; douce ; imaginative ; mystérieuseQUEL EST TON PLAT FAVORI ? Le gratin de pâtes aux épinards. Non ? Si si.SI VOUS ÉTIEZ UN ANIMAL SE SERAIT LEQUEL ? Soyons banale et représentative de notre sexe. Si j'étais un animal, moi je serais un cheval, fière et libre, puissant et sauvage. C'est beau tu vois.

10, 11, 12 elles seront toutes rouges ! , et enfin, qui se cache derrière ton écran ?

© Miss Volchok
TON PETIT NOM ๑ Valentine
TON PSEUDO ๑ V.
TON ÂGE ๑ 19 ans
TON AVATAR ๑ Willa Holland
TA FRÉQUENCE DE CONNEXION ๑ Je peux me connecter tous les jours, mais alors pour poster, c'est une autre histoire, parce que les cours, ça prend du temps. Mais disons qu'en moyenne, je peux poster une a trois fois par semaine.
OU AS-TU TROUVE CE FORUM ๑ Sur un top site ( Vous avez dit ultra banal ? Non... )
TON AVIS SUR LE FORUM ๑ Bon je suppose, sinon je ne serais pas là
TA DÉDICACE ๑ Ça ferait narcissique de me faire une dédicace a moi même ?

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7, 8, 9 dans mon panier neuf , tu as bien des choses à nous raconter

CHAPITRE 1 : « Salut a toi mon père, toi que je n'ai pas connu. »

Ma main se resserre contre ma poupée alors que j'enfouis mon visage sous ma couverture. Sa voix, j'entends sa voix dans ma tête alors qu'elle, elle pleurs en lui répétant d'arrêter. J'entends ses pas dans l'escalier, je sais ce qui va se passer. Ma main se resserre un peu plus et mes yeux ses ferment. Je me le répète, faut pas pleurer, faut pas pleurer sinon maman elle sera triste. Des fois je lui dis, pleurs pas maman, pleurs pas. C'est pas grave. Y a ses pas qui grincent, je voudrais lui dire d'arrêter. Il bouscule ma porte et la lumière du couloir vient inonder ma chambre. Des jouets a la pelle, des jouets d'enfants. Il parle jamais, sauf pour me hurler combien il me déteste. J'entends ma mère qui lui murmure « Calmes toi James, calmes toi, elle a rien fait la petite. » Il attrape ma couette par un coin, et il la balance au pied de mon lit. Je m'y attends, pourtant je laisse échapper un cri. La vérité c'est qu'il me fait peur. Il attrape le col de mon pyjama pour me forcer a me redresser. Ce que je fais. Je peux pas lui non. Je ne veux pas qu'il me fasse mal. J'arrive pas a croiser son regard, je fais même tout pour le fuir. Y a ses mains qui tremblent, et son haleine qui empeste l'alcool. Il arrache la poupée de ma main et la propulse violemment contre un mur. Ça fait un bruit sourd, faut pas que je pleurs, non faut pas. Ma mère a quitté ma chambre. Elle doit être en bas, comme d'habitude, une cigarette entre les lèvres, sont corps habité par de nombreux tremblements. Je le vois bien dans ses yeux qu'elle a peur. Mais elle dit rien. Elle fume, elle reste seule. Elle le laisse faire, et quand c'est finit, elle vient se placer dans l'encadrement de ma porte. Elle croit que je dors mais c'est pas le cas. Je sais que quand elle est là a me regarder, elle a envie de tout laisser tomber. Dans sa main, il enlace mon cou, et balance violemment ma tête vers l'arrière. « Papa... Tu me fais mal... » Sa main s'abat contre ma joue. « Tu m'appelles pas comme ça t'as compris ? T'es même pas autorisée a parler putain de gamine ! Lèves toi et retire ton pyjama. » On est l'hiver et j'ai un peu froid. Je retournerais bien me glisser sous mes draps, pourtant je me lève, je déboutonne ma chemise, et je me place là, juste là, dos a lui. Il maitrise son geste, et retire sa ceinture avant de se mettre a rire. Il a un rire qui me fait peur. Un rire méchant que souvent j'entends la nuit, quand je rêve. Je ferme les yeux, et le cuir vient une première fois lacérer mon corps. De mes bras, je tente de cacher ce qu'il y a encore a cacher. J'ai soudain chaud, beaucoup trop chaud. Y a cette chose qui danse contre mon dos, et ce liquide brûlant qui me glace le sang. Maman j'ai peur, maman, s'il te plaît, aides moi. Le dernier coup retentit, et mon corps de gamine s'effondre sur le sol, sans vie. La porte de ma chambre se ferme, je vois juste la lumière, juste un fin halo, alors que ses pas s'éloigne bruyamment. De ma main, j'attrape ma poupée, de l'autre, je fais glisser la couverture sur mon corps nu. J'ai froid, beaucoup trop froid. Je veux pas mourir tu sais. Et puis y a ces larmes sur mes joues, ses larmes que je balaye d'un revers de main. Les draps rougissent, et je me recroqueville sur moi même. Pleurs pas maman, c'est pas grave. La porte s'ouvre a nouveau, et j'entends juste sa respiration irrégulière. Je ferme les yeux que j'entends qu'elle s'approche de moi. Je ne veux pas qu'elle sache, je ne veux pas qu'elle voit. Alors délicatement, ses bras viennent soulever mon corps enveloppé dans l'épaisse couverture. Elle me réinstallera dans mon lit, pleurera quelques minutes en croyant que je ne l'entends pas. J'ai six ans. Souris maman, souris.

CHAPITRE 2 : « J'aurais aimé t'écrire le plus beau des poèmes, te dire que le monde est beau et que c'est beau d'aimer. »

Et puis y a eu Siobhan. Siobhan, c'était mon meilleur copain, mon pote, le type avec qui je m'amusais. Il ne ressemblait a personne d'autre, parce qu'il était différent. On s'est rencontré je m'en souviens, on avais cinq, peut être même six ans. Je m'en souviens bien, j'étais dans la cours de récréation, je dessinais sur mon cahier, des visages trop ronds avec un corps tout en bâton. Je trouvais ça jolie. Je m'en souviens, je dessinais quand le ballon est venu a la rencontre de mon visage de gosse. Devant moi, il était là, planté comme un piquet, évitant mon regard, comme si tu vois, j'allais le manger tout cru. J'ai ramassé le ballon, et puis je lui ai donné, parce que c'était pour ça qu'il était là, je le voyais bien. Il a pas dit merci, il a juste fait demi tours, et puis il s'est enfuit. « C'est quoi ton prénom ? » Il m'a regardé, comme si je venais de dire un gros mot. Il avait pas l'air de trop savoir quoi faire. Plus loin, y avait ses copains qui a défaut de cause avaient oublié le ballon pour se bagarrer dans le sable. Et puis y avait moi. Il s'est approché, il s'est assit a côté de moi. « Moi mon papa, il m'a dit de pas parler aux filles. » Mais moi je comprenais pas, je voyais pas pourquoi il pouvait pas me parler, et puis, je trouvais qu'il avait l'air gentil, alors moi, j'ai haussé les épaules. Le ballon est tombé sur le sol. « T'as qu'à pas lui dire que je suis une fille. »

J'étais Cappie, son pote, son copain. On se voyait en cachette, quand il venait frapper a ma porte pour m'enlever du monde réel. Mes parents ont jamais su. On a tout fait ensemble, la première clope, la première cuite, la première fugue aussi. Je m'en souviens, j'avais douze ans, et puis un matin, en allant a l'école, il avait vu sur mon bras les marques de ma rencontre avec mon paternel la veille. C'était trop rouge, trop vif, il m'a dit que je ne retournerais plus jamais chez moi, qu'il ne le laisserais plus faire. Parce qu'il était le seul a savoir. Je lui ai dit qu'il était idiot, qu'il pouvait aller se faire voir, que de toute façon, j'avais pas besoin de son aide. Pourtant, le soir, quand il a prit ma main pour m'amener chez lui, j'ai rien dis. J'étais jamais allé chez lui, parce qu'il ne fallait pas que son père me voit, alors ce soir là tu vois, je me suis glissé par la fenêtre, et pour la toute première fois, j'ai partagé son lit. Elle était grande sa maison, beaucoup trop grande. Parce Siobhan, c'était un prince. Toute la nuit on a parlé, et puis ce soir là, on se promettait que plus tard, lui et moi, on se marierait ensemble.

J'ai entendu dire une fois, que le plus simple c'était de tomber amoureux de son meilleur ami. Avant, je comprenais, jusqu'à qu'un jour, Siobhan il m'embrasse. Mon premier vrai bisou avec la langue. On c'était dit que si plus tard on devait se marier, il fallait qu'on tombe amoureux tout de suite, et ça a presque été le cas. On partageait tout, on fuyait tout ensemble. C'était mon héro, le type a qui je pouvais tout dire. C'était simple. Il savait tout, du menu de mon petit déjeuner, en passant par le film qui me faisait le plus pleurer et puis l'album que je pouvais écouter en boucle son me lasser. Ma première capote, mon premier appartement. On avait seize ans quand il s'est garé devant la maison. « Cappie, t'as douze minutes pour faire tes bagages. » Je comprenais pas, ça me faisait juste rire, alors j'ai grimpé dans ma chambre, tout fourré dans un grand sac, et puis, j'ai claqué la porte derrière laquelle j'avais passé toute mon enfance. Finit le père barjot qui me frappait, finit la mère cent fois trop émotive, moi j'étais Cappie, je balançais tout, et puis je partais avec l'homme que je croyais être celui de ma vie. Philadelphie, une grand mère décédée. C'est comme ça qu'on est arrivé, c'est comme ça que j'ai accepté de devenir un peu plus que sa meilleure copine. Au milieu des cartons dans l'appart' qui puait le renfermé, y avait un coffret a bijou, une jolie bague en argent. « J'avais peur de m'emmerder ici tout seul, alors je me suis dis que peut être, si tu veux bien, on pourrait faire quelque chose comme se marier. »

CHAPITRE 3 : « Au diable les rêveurs qui ne tenant pas debout se passent la mort aux doigts, pauvres de leur cupidité sont ceux qui s'échinent à garder l'autre pour soi. »

J'aurais aimé que tout soit différent, dire oui sans me poser de question, ne pas hésiter, être sûre. J'aurais aimé mais j'ai pas su, alors a Siobhan, je lui ai dit que j'avais besoin d'un peu de temps, que je reviendrais, que je voulais juste prendre mes distances, réfléchir, un tout petit peu. C'est Jack qui m'a proposé de mettre les voiles, de partir un temps ou deux. Alors on est grimpé dans sa voiture, entre nanas tu vois. C'était la belle vie, les grands espaces, les cheveux au vent, pas contraintes, pas de limites, rien. On vivait un peu au jour le jour, c'était les vacances d'été, on avait deux mois de totale liberté, alors moi, appareil photo sous le bras, je lui demandais de s'arrêter sur le bords des routes pour poser sur papier les paysages qui croisaient notre chemin. C'était simple. Et puis on a rejoint Indie. Il était Dj, ou quelque chose dans ce genre là. Il allait de bar en bar pour ravir les oreilles d'abrutis alcoolisés. Comme ça, a trois dans la bagnole de Jack, on a parcourut le pays, les plus belles photos de ma vie. Y avait des visages atypiques, des attitudes particulières qui me plaisaient a l'objectif. Tout était simple, sauf Indie. Nos débuts furent difficiles, chacun de nos échanges se ponctuaient par des disputes, jusqu'à ce qu'a découvrir qu'il n'était pas si terrible que ça. Le soir, quand Jack elle allait se coucher, je m'asseyais a ses côtés, je glissais une cigarette entre mes lèvres, et puis on écoutait le silence. C'était simple, y avait pas besoin de beaucoup de mots. J'appréciais sa présence, de plus en plus. Et puis tout a changer. On était rentré tard, on avait un peu trop bu. Jack, elle s'est effondrée comme une masse, comme une gamine, elle a dormit toute la nuit. Moi ma nuit, je l'ai passé dans les bras de type qui quelques jours plus tôt m'insupportait au plus haut point. Y avait rien de mauvais là dedans, bien au contraire, y avait comme un goût de romance. Ça a duré plusieurs jours. On était deux clandestins bercés par une chanson trop douce, trop inhabituelle pour pouvoir y croire. Et puis tout s'est arrêté. On est rentré a Philadelphie, je me suis assise sur la banquette arrière a côté de lui, et puis, je lui ai tout dit. Siobhan, la demande en mariage. J'aurais voulut qu'il me retienne, qu'il se lance dans une tirade amoureuse, un truc jolie. J'aurais voulut qu'il me prouve que je ferais une erreur en acceptant la demande de mon meilleur copain. Mais rien, rien du tout. « Cappie, t'es bonne, mais ne va pas croire qu'il y est des sentiments entre nous. On baise, on trinque, mais on tombe pas amoureux. Tu peux rentrer chez toi maintenant, j'ai plus besoin de toi. » Quel enfoiré, quel con bordel ! Je suis sortie de la voiture, et depuis, je l'ai pas vue. En rentrant a l'appartement, Siobhan m'attendait en souriant. Il m'a serré dans ses bras, m'a avoué que je lui avais manqué. Et moi j'ai dis oui.

C'est Indie qui va être content *o*
BIENVENUE I love you

Une fan de Saez CAPPIE ✿ Somewhere over the rainbow. 10757

Bienv'nue

Bienvenue ! (:

BIENVENUE I love you

Eliott Huntington a écrit:: C'est Indie qui va être content *o*
BIENVENUE

tu l'as dit Ely !

CAAAAAPPPPPIEEEEE D'AMOUUUUUUUR ! CAPPIE ✿ Somewhere over the rainbow. 10757

CAPPIE ✿ Somewhere over the rainbow. 188733

CAPPIE ✿ Somewhere over the rainbow. 61388

merci encore d'avoir choisi mon scénario ! Si jamais tu as la moindre question, yé soui là pour y répondre mi amor ! I love you

Et je préviens de suite, je dépose un droit de véto sur ton coeur ma douce I love you

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CAPPIE ✿ Somewhere over the rainbow. 759560

Ondine Gainsburgh a écrit:: Une fan de Saez
Bienv'nue

Indie, bel Indie, t'as tous les droits de véto du monde sur mon cœur :67:

Oh et surtout n'hésites pas, si l'avancement de ma fiche ne correspond pas a ce que tu imaginais, je changerais. Quand a moi, je prendrais plaisir a te harceler plus ou moins sexuellement par mp en cas de question

Bienvenue

**๑ Messages** : 12 **๑ Date d'inscription** : 29/12/2010

CAPPIE ✿ Somewhere over the rainbow. 816805

C'EST PARFAIT I love you

tu es validée , have fun

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» CAPPIE ✿ T'es belle quand tu souris, t'es belle tout le temps.
» Robynn ❝ Somewhere over the rainbow.
» STEFEN-EZRA ☁ a rainbow is in the sky.
» she's a rainbow ❥ KATIE CASSIDY ( réservée )