« MERRY CHRISTMAS DARLING » ๑ Statut RP : Disponible ๑ Je leur offre des cadeaux:
Sujet: JACK • I met the beast (finie) Mar 28 Déc - 2:13
Jack Pretty-Boy Dillinger
tumblr
« Il y a une marée dans les affaires des hommes, prise dans son flux, elle porte au succès. Mais, si l'on manque sa chance, le grand voyage de la vie s'échoue misérablement sur le sable. » William Shakespeare - Jules César
1, 2, 3 nous irons aux bois , dis-nous un peu plus sur ton personnage
Bon, j’ai entendu qu’il fallait que je me présente, alors allons-y. Moi c’est Jack Pretty-Boy Dillinger enfin plus connu(e) sous Jacky ou Pretty-Boy. Je compte actuellement 27 pommes d’amour et ma plantation a commencé le 24 Janvier 1983 à Washington. Maintenant, je réside à Philadelphie. Pour éviter de glander dans mon canapé à longueur de journée, dans la vie je suis écrivain, donc je glande dans mon canapé et disons que c’est mon truc. J’allais oublier de préciser que j’étais divorcé et je le vis bien –si je vous assure. Enfin, je fais partie des my family loves it et vous allez très vite m’apprécier… ou pas !
4, 5, 6 ceuillir des cerises , viens tester tes connaissances...
QUELLE EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE TU FAIS LE MATIN ? Après avoir tapé sur mon réveil à grands coups de poing pour qu'il s'arrête, je me rendors, pendant dix bonnes minutes. Je me rends ensuite compte que le timing va être serré, et je cours réveiller ma fille pour l'emmener à l'école, pas lavé, pas coiffé, pas cafféiné. Je prépare en vitesse un petit déjeuner et un casse croute à Lily, avant de partir au pas de course pour l'école. POUR QUELLE OCCASION VOIS-TU DES POISSONS COLLÉS DANS LE DOS DES GENS ? Tous les jours, Lily a fait un énorme blocage sur un dessin animé qui se passe un premier avril. Elle le regarde, tous les jours, constamment, et je dois vous avouer que si le premier avril quelqu'un me colle un poisson dans le dos, je risque de lui en mettre une, en toute amitié, évidemment. QUELS SONT LES TROIS CHOSES QUE VOUS EMMÈNEREZ SUR UNE ÎLE DÉSERTE ? J'emmènerais Lily, pour commencer, c'est ma chose. Et puis, je pourrais pas la laisser mourir de faim ici, quoiqu'elle cuisine surement mieux que moi. J'emmènerais également une télé, et pourquoi pas une femme, parce que sinon, je deviendrais certainement dingue.
DONNES-NOUS TROIS QUALITÉS ET DÉFAUTS DE TON PERSONNAGE Je suis borné, sarcastique et feignant. Je suis drôle, affectueux et gentil. QUEL EST TON PLAT FAVORI ? Pizza, sans hésiter. SI VOUS ÉTIEZ UN ANIMAL SE SERAIT LEQUEL ? Un panda, sûrement.
10, 11, 12 elles seront toutes rouges ! , et enfin, qui se cache derrière ton écran ?
TON PETIT NOM ๑ Mathilde TON PSEUDO ๑ Springfield TON ÂGE ๑ 18 ans TON AVATAR ๑ Ryan Gosling TA FRÉQUENCE DE CONNEXION ๑ Très souvent (: OU AS-TU TROUVE CE FORUM ๑ sur Bazzart TON AVIS SUR LE FORUM ๑ Il est vraiment canon ! TA DÉDICACE ๑ J'en ai pas, mais si je peux chanter, vite-fait, c'est bon « femme des années 80, femmes jusqu'au bout des seins »
Dernière édition par Jack Pretty-Boy Dillinger le Mar 28 Déc - 20:52, édité 7 fois
« MERRY CHRISTMAS DARLING » ๑ Statut RP : Disponible ๑ Je leur offre des cadeaux:
Sujet: Re: JACK • I met the beast (finie) Mar 28 Déc - 2:13
7, 8, 9 dans mon panier neuf , tu as bien des choses à nous raconter
« Je regarde tes yeux, ça me fait pleurer, ne fais pas cette tête, je ne veux pas te blesser. Je t'aime tant, je t'aime tant. Aujourd'hui je pars, je reviendrai demain. C'est pas toi et moi, toi et moi ça ne fait qu'un. Je t'aime tant, je t'aime tant. Dès que je ne suis plus là, tu dis elle ne m'aime pas. Ouvre les yeux, regarde-moi, ma vie serait vide sans toi. » Elli & Jacno - Je t'aime tant
« Je le veux. » Trois petits mots qui m'auraient semblé anodins, si je ne les avais pas prononcé le jour de mon mariage à une danseuse étoile. Une histoire sans précédent. Je n'avais jamais été aussi aimant envers quelqu'un. Elle était tombée amoureuse d'un pauvre petit écrivain propre sur lui. Toute cette histoire sans queue ni tête avait commencé à l'opéra de Washington. Comment vous dire que les ballets ça n'a jamais vraiment été mon truc ? Au choix je préfère une bière devant un match de foot retransmis à la télé. Mon éditeur m'avait envoyé un billet pour ce spectacle, et m'avait fortement conseillé d'y aller histoire de me divertir. Au final, je me retrouvais assis dans l'un de ces fameux fauteuils rouges à observer des femmes trop minces se tordre au son d'une musique rapide, telles les flammes de bougies tout juste allumées. C'était le lac des cygnes. Le ballet que je connaissais certainement le mieux, enfin surtout la musique composée par Tchaïkovsky. Mais rapidement je sombrais dans les abysses du sommeil, alors que le célèbre pas de quatre commençait. J'étais dans l'une des soirées les plus huppées de l'année que l'on ne pouvait accéder que sur invitation, j'espérais secrètement que le président n'était pas dans l'une des loges. Après tout, j'avais 19 ans, ce n'était pas de mon âge ce genre d'événements. « Monsieur ? » Une voix sensuelle me parlait, je souriais de façon idiote, les yeux encore fermés. Après une prise de conscience que quelqu'un essayait de me réveiller, je sursautai dans mon fauteuil, ma chemise déboutonnée jusqu'au milieu du torse. Il n'y avait plus personne dans la salle, et personne ne m'avait réveillé. Comment passer pour un raté devant des centaines de personnes. Une petite blonde se tenait face à moi avec un regard réprobateur. « Ca vous intéresse pas la danse classique, à ce que je vois. » Je cherchais des gens dans la salle, mais rien à faire. Quelle heure était-il ? Je jetais un oeil à ma montre : 23h05. « Pas vraiment, je suis pas un fan des cygnes qui se trémoussent. » Elle se mit à rire gaiment. Je levai la tête vers cet être enchanté. Elle était si jolie. Dès le premier coup d'oeil, elle me plaisait : fragile, douce et souriante. « Vous savez que j'ai dû accomplir des années de travail pour obtenir le premier rôle. Quel métier vous vaut une telle arrogance ? » Magnifique : il avait fallu que je me moque des ballets devant la jolie fille qui avait le premier rôle. Toujours tout en finesse. Un peu gêné, je répondis calmement. « Je suis écrivain. Un écrivain de 19 ans qui a eu beaucoup de chance et qui a déjà dépensé beaucoup du fric qu'il a amassé avec son premier bouquin. » « Alors tu es un de ces pauvres mecs qui traînent toute la journée en caleçon sur son canapé à taper des mots insensés sur son ordinateur ? » Elle disait ça ironiquement, ou peut-être qu'elle le pensait, peu importe après tout, elle était belle et intelligente. « C'est un peu ça. Alors la fille élastique, on va boire un verre ? » Et voilà le début de la fin. On s'est aimés peut-être trop ou pas assez, nous étions jeunes. Elle était insouciante, le feu sous la glace. Elle partait souvent, mais ça restait fusionnel entre nous. L'année d'après, on se mariait. On était bien plus heureux avant de s'unir pour être vraiment heureux. Deux semaines après le mariage, elle tombait enceinte. Être enceinte pour une danseuse, c'est comme un verre qui se brise, le choc d'une carrière terminée prématurément. Nos disputes commencèrent avant de devenir incessantes, elle criait, elle pleurait, moi je claquais les portes. Mais c'est elle qui claqua la porte de notre amour. Après son accouchement. Elle voulait reprendre sa carrière. « Je suis trop jeune pour ça, Jack. Je ne suis pas capable de m'occuper d'une petite fille et de toi. Grandis un peu. » « Moi, grandir ? Moi, je prends mes responsabilités Grace, toi tu t'en vas. Tu fuis tout ce qui pourrait t'attacher à quelqu'un. Et bien tu sais quoi, va-t-en mais dans ce cas là, ne viens pas pleurer parce que tu ne verras pas ta fille grandir. » « Arrête de me parler d'elle, tu m'entends ? C'est assez difficile comme ça. Je m'en vais. Maintenant, un taxi m'attend. » Je la regardais partir sans un mot, pensant à Lily qui allait vivre sans mère. J'avais 20 ans, je me retrouvais père célibataire et divorcé peu de temps après. Je voulais haïr Grace, mais j'en étais incapable. Je ne pouvais que l'ignorer.
« Tombé du ciel à travers les nuages, quel heureux présage pour un aiguilleur du ciel. Tombé du lit fauché en plein rêve frappé par le glaive de la sonnerie du réveil. Tombé dans l'oreille d'un sourd qui venait de tomber en amour la veille d'une hôtesse de l'air fidèle. Tombée du haut d'la passerelle dans les bras d'un bagagiste un peu volage, ancien tueur à gages. Comment peut-on tomber plus mal ? » Jacques Higelin - Tombé du ciel
« Papa, emmène moi à ta soirée, s'il te plaît. Y'a pas école demain. Allez, allez, allez, papaaaaaaa ! » Elle se tenait à ma jambe, comme un ouistiti à son arbre. Je venais de finir de m'habiller. J'étais invité à une autre soirée pour le boulot. En général, je n'y allais pas, mais là, c'était une obligation. Mon manager disait que pour mon image, il était judicieux de me présenter à certaines de ces soirées. Après mon divorce, j'étais venu habiter à Philadelphie avec la personne la plus importante pour moi. « D'accord mini moi, viens on va t'habiller. » On était là assortis. Le père et la fille. Je ne sortais pas souvent sans elle, et je ne rencontrais pas d'autres femmes. Même Lily me poussait à aller en voir d'autres. C'était une petite fille incroyable. Elle avait l'intelligence de sa mère et sa brillance. Je devinais qu'elle souffrait de ne pas vivre avec sa mère. Celle-ci lui envoyait des lettres de temps en temps, à moi aussi, mais je ne les ouvrais pas. Je les avais toutes collectées dans une boite, ou plutôt dans trois boites. Trois boites pleines à craquer de lettres de nouvelles, d'excuse, d'amour, peu m'importait. Elle n'avait pas voulu du divorce, mais je l'y avais forcée, de toutes façons elles ne seraient pas revenues. Elle l'avait dit. Elle nous avait laissés tomber. « Papa, maman a arrêté de travailler, elle a promis qu'elle viendrait habiter à Philadelphie près de chez nous, pour venir me voir. » Nous marchions dans la rue main dans la main quand je mis à m'étouffer lourdement. Ce n'était pas possible. Elle avait mal compris. Grace n'avait pas le droit de me faire ça. « C'est une blague, ma chérie, hein ? T'es pas sérieuse. » Je me stoppais serrant le poing qui était libre. Mon visage passa du rire à l'énervement. « Papa, maintenant, j'ai 7 ans, je suis plus un bébé, je sais que maman nous a laissés, mais c'est ma maman, les seules fois que je l'ai vue c'est à la webcam. Je sais qu'elle n'était pas là pour s'occuper de moi, mais elle veut se rattraper, laisse lui une chance. » J'écarquillais de grands yeux devant ma fille de sept ans qui venait de me clouer le bec avec un discours de grande personne. « Non, mais t'as que sept ans, c'est quoi ce délire ? Faut que j'arrête de faire venir mes amis à la maison, et faut que tu restes avec des gens de ton âge. Normalement, t'es au stade pipi caca, pas je remets mon père en place. » Je m'agenouillais à sa hauteur et déposai un baiser sur son front alors qu'elle rigolait à gorge déployée. C'était sa mère tout craché. Et d'ailleurs, elle est revenue, il y a deux mois. Elle a emménagé à quelques rues de notre appartement. Mais je refuse de lui parler, même sept ans après, je n'arrive pas à lui pardonner. Les seuls mots que je lui dis c'est bonjour et fais attention à Lily. J'ai du mal à me faire à l'idée qu'elle est là tout près et qu'elle veut se faire pardonner, qu'elle veut d'une vie de famille.
Dernière édition par Jack Pretty-Boy Dillinger le Mar 28 Déc - 20:52, édité 24 fois
Harper Swann Wakefield WILD CHILD Ϟ YOUR THE ONE THING I CAN'T GET ENOUGH OF.
๑ Messages : 238 ๑ Date d'inscription : 19/12/2010
« MERRY CHRISTMAS DARLING » ๑ Statut RP : Indisponible ๑ Je leur offre des cadeaux:
Sujet: Re: JACK • I met the beast (finie) Mar 28 Déc - 2:22
Bienvenue sur Santa Claus exists Bon courage pour ta fiche Je te réserve Ryan.