JULIET ☞ I always feel like somebody's watching me

**๑ Messages** : 13 **๑ Date d'inscription** : 26/12/2010

Meredith Juliet-Reagan Fitzpatrick

© tumblr

TA PETITE CITATION ICI ♥

1, 2, 3 nous irons aux bois , dis-nous un peu plus sur ton personnage

Bon, j’ai entendu qu’il fallait que je me présente, alors allons-y. Moi c’est Meredith Juliet-Reagan Fitzpatrick enfin plus connu(e) sous Juliet-Reagan, Juliet ou encore Jules. Je compte actuellement 22 pommes ~~d’amour~~ et ma plantation a commencé le 13 Novembre 1988 à Philadelphie. Maintenant, je réside à nouveau à Philadelphie. Pour éviter de glander dans mon canapé à longueur de journée, dans la vie je suis productrice et disons que c’est mon truc. J’allais oublier de préciser que j’étais célibataire et je le vis bien –si je vous assure. Enfin, je fais partie des MY FAMILY LOVES IT et vous allez très vite m’apprécier… ou pas !

4, 5, 6 ceuillir des cerises , viens tester tes connaissances...

QUELLE EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE TU FAIS LE MATIN ? Je prends ma douche, c'est un réflexe, autrement je serais incapable de me réveiller correctement. Ensuite je dirais la café, en fait je en fais pas l'un sans l'autre. J'ai besoin de ma dose de caféine autant qu'une bonne douche. POUR QUELLE OCCASION VOIS-TU DES POISSONS COLLÉS DANS LE DOS DES GENS ? Euh ... le premier avril ? QUELS SONT LES TROIS CHOSES QUE VOUS EMMÈNEREZ SUR UNE ÎLE DÉSERTE ? Mon portable, mon ipod et des bonbons. Le portable pour garder contact, de toute façon je suis trop bavarde pour m'en passer alors, que d'autre ne s'en servent que pour envoyer des textos moi c'est surtout pour passer des coups de fils. Le ipod parce que je suis incapable de vivre sans musique et que mes films préférés son enregistrés dedans. Je deviendrais sans doute dingue sans cet appareil. Ensuite les bonbons simplement par gourmandise, j'en ai toujours un petit stock dans mon sac, officiellement c'est au cas où je ferais de l'hypoglycémie, en vérité c'est parce que je suis aussi gourmande q'une enfant.
DONNES-NOUS TROIS QUALITÉS ET DÉFAUTS DE TON PERSONNAGE Courageuse - Ambitieuse - Drôle ; Grande gueule - Autoritaire - Rancunière QUEL EST TON PLAT FAVORI ? Pizza -restons simple- Je n'aime pas les plats qui en font trop. Certains pourraient dire que mes goûts ne sont pas assez fins, moi je dirais seulement que les salades c'est pas mon truc et que je préfère une soirée entre potes autour d'une pizza qu’une soirée dans un grand restaurant où l'ambiance manquerait.SI VOUS ÉTIEZ UN ANIMAL SE SERAIT LEQUEL ? Une lionne sans doute, prête à bondir au moindre danger. je suis prête à tout pour défendre ceux que j'aime. De toute façon je ne me vois pas être un autre animal, à mes yeux se sont les lionnes qui ont le pouvoir; on dit souvent que le lion, est le roi des animaux, c'est faut les lionnes le sont.

10, 11, 12 elles seront toutes rouges ! , et enfin, qui se cache derrière ton écran ?

© BRAIN-LEECH
TON PETIT NOM ๑ ici
TON PSEUDO ๑Babe Ruthless
TON ÂGE ๑ 17 ans
TON AVATAR ๑ Leighton Meester
TA FRÉQUENCE DE CONNEXION ๑ Aussi souvent que possible
OU AS-TU TROUVE CE FORUM ๑ Grâce à Ana ♥
TON AVIS SUR LE FORUM ๑ Il claque ♥ Sérieusement il est magnifique j'en suis amoureuse.
TA DÉDICACE ๑ Big cass dédi à Tinkerbell ta vu !

**๑ Messages** : 13 **๑ Date d'inscription** : 26/12/2010

7, 8, 9 dans mon panier neuf , tu as bien des choses à nous raconter

✖ Oh mother, we're stronger From all of the tears you have shed So mother, I thank you For all you've done.

« ... Et j'aimerais tous vous remercier pour les instants qu'on a partagés ensemble à travers l'écran de télévision, vous m'avez apporté plus que ce que vous ne croyez. C'était Meredith Jones qui rend l'antenne pour la dernière fois » C'était le début de la fin. Tout le plateau était en larmes et moi plus encore. Ma mère avait toujours été passionnée par son métier, présenter le journal télévisé du soir était sa vie. Je me souviens avoir passé des heures avec elle dans les studios de cette chaine de télévision, tout le monde me connaissait et je connaissais tout le monde. Lorsqu'on demandait quel était le métier de ma mère je répondais toujours « Elle présente les informations » et je remarquais toujours que les gens me regardaient soit avec admiration pour ce que faisait ma mère ou avec pitié, car pour eux Meredith Jonas ne pouvais décemment pas concilier travail et vie de famille. Pourtant, elle le faisait très bien. Elle voulait toujours passer le maximum de temps avec moi, c'est pour cela que je passais mon temps sur les plateaux télévisés, toujours près d'elle. C'est pour ainsi dire là-bas qu'elle m'a élevée, j'étais si souvent présente qu'un jour le patron de ma mère m'a dit qu'il me voyait sans doute plus souvent que son propre fils. C'était une grande famille à laquelle j'étais fière d'appartenir. Maman était tellement appréciée que lorsqu'elle a démissionnée chaque employés de la chaine, du directeur au simple technicien de surface avait l'impression de perdre une soeur, en tout cas c'est comme ça que je l'avais ressenti à l'époque.
En vérité maman n'aurait jamais abandonné son métier si sa santé l'avait permis. Elle était gravement malade, une tumeur, la deuxième dans la famille. Ma tante ; Reagan en avait eu un également et s'en était sortie. On avait beaucoup d'espoir à l'époque, on pensait réellement que maman allait s'en sortir. Au début elle répondait très bien aux différents traitements, elle se soignait correctement et tout semblait indiquer qu'elle pouvait guérir, d'ailleurs pendant un moment on l'a pensé. Après quelques opérations on pensait toutes les tumeurs parties et elles l'étaient sûrement. Quoi qu'il en soit, deux semaines après sa sortie de l'hôpital mon père l'a retrouvée inanimé sur le sofa. J'étais à l'école ce jour-là -rien de plus normal lorsqu'on a dix ans-, le proviseur m'a appelée pour m'annoncer que mon père m'attendait à l'hôpital et que ma tante allait m'y accompagner. J'ai tout de suite compris ce qu'il se passait, c'était évident. Les larmes se sont mises à couler d'elles-mêmes pour en plus s'arrêter pendant trois jours. Durant ses trois jours je ne voulais voir personne, pas même mon père mais, c'était sans compter sur mes amies. Trois amies de l'école ont grimpé par ma fenêtre pour me consoler. Sur le coup je me suis mise en colère mais, après j'ai tenu à ce qu'elles restent. Je suis persuadée que c'est en partie grâce à ces filles que j'ai arrêté de pleurer et que j'ai pris sur moi. C'est le jour où je me suis rendu compte que l'amitié est plus forte que tout et qu'elle peut nous aider à surmonter les obstacles qui se présentent à nous. (...) Ce n'ets pas seulementma mère que j'avais perdue, c'était ma meilleure amie et une partie de moi-même. Je suis remplie de fierté lorsqu'on me dit que je lui ressemble, car elle est tout ce que je voudrais être.

A seize la plupart des adolescentes sont seulement préoccupées par leurs petits copains, leurs fêtes et leur popularité. A seize ans moi, je pensais déjà à ma future carrière en tant que productrice-réalisatrice. Je me souviens que mes rares camarades qui avaient un petit boulot travaillaient au fast-food ou au cinéma, c'était assez normal pour des jeunes de leur âge. Ce qui l'était moins c'était que moi j'avais déjà une place de stagiaire dans une chaine de télé, je jonglais entre mes études et ce postes. Bon évidemment je servais les cafés au début mais, cela a vite changé. Je suis le genre de personne qui prend les devants, hors de question que je me coltine la distribution de beignets tous les jours. J'ai commencé à me lier avec le réalisateur, un homme franchement drôle qui prenait son travail très à coeur. J'adorais ce boulot, j'étais vraiment épanouie et puis je connaissais la moitié des employés, car ils étaient là lorsque ma mère était leur présentatrice vedette. C'est un emploi de rêve pour quelqu'un comme moi. Seule ombre au tableau, le fils du patron. Vous savez, c'est le genre de type qui se croit au-dessus de tout le monde parce que papa a de l'argent, parce que papa est le boss. Je me souviens quand j'étais enfant j'ai dû l'apercevoir une ou de deux fois, il ne venait pas souvent et lorsqu'il était là cela se voyait qu'il aurait préféré être autre part. Devait lui tout le monde se tait, il n'est pourtant pas aussi effrayant mais, j'ai rapidement compris qu'il abusait de son statu de 'fils du patron', du cou personne n'osait lui tenir tête, même lorsqu'il avait tort. Etant donné mon sale caractère et son égo sur dimensionné il a bien fallu qu'un jour cela explose entre nous. (...) « Tu pensais vraiment que tu pourrais te pavaner toute ta vie ainsi sans que personne n'élève la voix ? »Je tentais de garder mon calme mais, avec un abruti pareil en face de moi c'était difficile. « Honnêtement je ne pensais pas que ça serait une vulgaire stagiaire qui oserait !Maintenant on va faire comme si rien ne c'était passé histoire que tu ne perde pas ton job » « Parce que tu crois vraiment que tu as le pouvoir de me faire renvoyer ? Même si tu l'avais je n'arrêterais pas alors, laisse-moi te dire tes quartes vérités : Tu es égocentrique, pathétique, tu es ce qu'on appelle communément un conn*rd et franchement je comprends pourquoi personne ne te supporte. Réveil toi deux minutes tu crois que les gens sont sympa avec toi parce que tu le mérites ? ». Ce n'est qu'une de nos nombreuses disputes, on ne peut pas rester dans la même pièce sans se battre. Je crois que je suis la seule personne à avoir osé lui parler ainsi, même ses parents semble en avoir peur. J'ai appris plus tard qu'il travaillait ici à présent et qu'il comptait succéder à son père en tant que directeur. (...) A force de travailler au même endroit, presque tous les jours il a bien fallu qu'on prenne sur nous pour s'entendre. Au fur et à mesure que le temps passait j'ai compris qu'au fond il n'était pas méchant, simplement un peu idiot sur les bords et j'ai fini par m'en faire ami, un très bon ami. Une fois le problème de 'la progéniture du patron' réglée plus rien ne pouvait me faire détestait ce boulot. Je m'y sentais très bien, c'était ce dont j'avais toujours rêvé. Seulement je ne m'en contentais pas. Après deux ans de bons et loyaux services je leur ai dit que je les quittais. Une fois mon diplôme de fin d'année en poche je me suis décidée à prendreun nouvel envol et partir loin de Philadelphie.

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✖ There comes a time when every bird has to fly At some point every rose has to die It’s hard to let your children go Leave home

Une nouvelle vie s'offre à moi aujourd'hui. Je ne sais pas à quoi m'attendre, Peut être est-ce une bonnechose de quitter la ville qui m'a vue grandir, de m'éloigner de ceux qui me sont chers afin de réaliser mes rêves. On m'a souvent dit à quel point je ressemblais à ma mère, plus j'avance dans le vie plus je me rends compte que c'est vrai. Je marche sur ses traces en quelques sortes. Comme elle à son âge je m'en vais pour ma carrière, pour mon futur. Ce n'est un secret pour personne, j'ai toujours souhaite travailler dans le milieu de l'audiovisuelle et ce n'est pas en restant à Philadelphie que je vais pouvoir réaliser ce rêve. Comprenez-moi bien, ce n'est pas que cette ville n'a pas de potentiel dans ce domaine, au contraire, c'est seulement que pour les débutant comme moi, qui sont pleins d'ambitions ce n'est pas exactement l'endroit idéal. Je ne sais pas à quoi m'attendre en allant en Californie, ca semble tellement différent de tout ce que je connais. Ma mère a commencé sa carrière là-bas, c'est d'ailleurs dans cet état que mes parents se sont rencontrés. C'est une sorte de conte de fée ; elle était une jeune femme pleinesd'ambitions qui souhaitait devenir une grande présentatrice télé et montrer à tout le monde que quoi elle était capable, lui était le jeune avocat qui avait choisi le droit par devoir, plus que par envie. Je ne vais pas m'étendre sur ce sujet mais, c'est une histoire que j'ai toujours beaucoup aimée, parce que rien ne les destinaient au départ. Contrairement à maman je ne souhaite pas devenir présentatrice, être devant la caméra ne m'intéresse pas, je veux être derrière la caméra et faire le travail de l'ombre
. Mon but est devenir productrice, réalisatrice. Vous pensez sans doute que je vise trop haut, qu'on va me manger toute crue une fois arrivée à Los-Angeles mais, sachez que j'ai bien conscience de la difficulté que cela implique et croyez-le ou non je suis plus forte que j'en ai l'air. La preuve, je viens tout juste d'avoir dix-neuf ans et je quitte tout pour atteindre mes buts, je n'ai pas peur des épreuves qui me barreront la route, je n'ai que faire des critiques gratuites, je sais de quoi je suis capable et je suis prête à tout faire pour le montrer. De plus ce n'est pas comme si je n'avais aucune expérience travailler pour la chaine de locale de Philadelphie m'a appris beaucoup de choses. Pourtant, malgré cette envie qui m'habite, cette forte volonté que j'ai toujours eu je dois avouer que c'est avec une boule au ventre que je pars. Lorsque je pense à tout ce que je laisse derrière moi j'ai presque envie de faire marche arrière mais, je ne le ferais pas. J'abandonne mon père, cet homme qui a dû m'élever tout seul, je quitte mes amis qui m'ont toujours soutenus, je quitte « ma terre ». Je me sens souvent comme Scarlett O'hara qui puise sa force dans la terre de Tara, là où elle a grandi, cela va vous sembler stupide mais, pour moi c'est la même chose, je tire ma force de caractère de Philadelphie. En vérité cela aurait été n'importe quelle autre ville j'aurais été tout autant attachée, ce qui me lie à cet endroit ce n'est pas seulement le fait que j'y suis née, c'est surtout le fait que ma mère y soit enterrée. (...) Au fond de moi je sais que je fais au mieux, il fallait que je quitte tout ce qui m'est cher, c'est en quelque sorte un rite initiatique, il faut que je sache si je suis assez forte, pas seulement pour ce milieu qui ,contrairement aux apparences, n'est pas que strass et paillettes mais, aussi pour moi-même, il faut que je fasse mes preuves, que je me prouve que rien ne peut m'arrêter et que je peux tout endurer. Je dois sans doute être masochiste pour faire une telle chose.

✖ But it’s much too late for now to be like yesterday And the time is running out and we still have to say Goodbye Philadelphia.

« Ça alors si je m'attendais à ça. Le retour du jeune prodige de l'audiovisuelle. » Assise sur mes valises, hésitant à quitter la gère je me retourne vers cette vois familière qui semble m'interpeller. Lorsque mon regard rencontre celui de la personne qui m'avait adressé la parole je ne pum'empêcher de rouler des yeux. Un grand type blond, se tenait à quelques mètres de moi l'air moqueur comme à son habitude. « Je savais que je n'aurais jamais dû revenir aujourd'hui, regarde le comité d'accueil minable qu'on m'envoie » Il fait semblant de s'offusquer et s'avance vers moi pour ensuite me prendre dans ses bras « Tu m'as manqué aussi Jules. J'espère que la Californie ne t'a pas rendue plus garce que tu ne l'étais déjà » Je le repousse en souriant. Il en a coulé de l'eau sous les ponts depuis que je suis partie, quatre ans exactement. Pendant ces quatre ans j'ai changé, je suis devenue plus mature, plus forte aussi. Mon arrivée à Los-Angeles a été un enfer les premiers mois, c'est vrai, qui voudrait embaucher une gamine de dix-huits ans ? Seulement j'ai tenu le coup, il faut dire que j'ai toujours été une vraie tête de mule. J'ai persévéré et finalement j'ai eu un emploi dans un studio où l'on tournait plusieurs séries. D'abord, Stagiaire j'ai tout fait pour grimper dans la hiérarchie et j'ai même réussit à réaliser quelques scènes d'une des séries. C'est étonnant que j'y sois arrivé en aussi peu de temps mais, il faut dire que je les aipresque harcelés. Ils ne m'oublieront pas de si tôt. J'ai aussi appris les dures lois de la réalité, tout ne m'est pas tombé tout cuit dans le bec, j'ai dû me battre bec et ongles avec d'autres personne qui souhaitait eux aussi y arriver. J'ai aussi découvert des facettes de ma personnalité que je ne connaissais pas. Jamais je m'étais imaginé que je pouvais adorer donner des ordres ni que je pouvais être aussi forte face à des critiques parfois blessantes. Mais, contrairement à ce qu'ilcrois je ne pense pas être devenue une garce.
D'ailleurs je ne l'ai jamais été, sauf avec lui. « Dis-moi tu n'es pas réellement venu me chercher hein ?! Je n'ai dit à personne que je revenais ce matin. » « Non en effet, car même si tu es le centre de mon monde je n'aurais pas deviné quand est - ce que tu arriverais. » Il prend mes bagages et me conduit sur un autre quai pas très loin. Je ne sais pas si mon 'come-back' sera bien reçu par tout le monde. J'ai évidemment gardé contact avec ceux qui m'étaient proches mais, j'ai l'impression que certains m'en veulent. Le rejet est une chose qui m'a toujours effrayée, cela doit être une de mes plus grandes peurs -ça et les clowns. J'ai à nouveau cette boule au ventre que j'avais avant de partir. Je n'ai prévenu personne de mon arrivée, même mon père n'est pas au courant. Ce n'est pas pour faire une surprise que je n'ai rien dit, c'est seulement par peur de ne pas être accueillie à ma sortie du train. « J'ai quelqu'un à te présenter » il me sorti brusquement de mes pensées, il avait sans doute vu que je n'étais pas très bien, il le voit toujours. « Et c'est pour cette personne que tu es là ? » Il hoche la tête de haut en bas « Et qui est-ce ? Une nouvelle conquête que tu as ramenée du New-Jersey ? » Je n'ai pas compris pourquoi il riait, c'était pourtant bien son genre de faire ça. En tout cas il tenait vraiment à ce que ça soit une surprise. On attendit dans le silence jusqu'à ce que le train arrive. D'un coup je vis son sourire s'élargir comme jamais et sans que je m'y attende un enfant lui sauta dans les bras. C'est là que je me suis rendu compte que beaucoup de choses avaient changé depuis mon départ, vraiment beaucoup.