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 it's not like the movies ✩ JAILIS.

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Charless-Evvie Ainsworth

Charless-Evvie Ainsworth


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MessageSujet: it's not like the movies ✩ JAILIS.   it's not like the movies ✩ JAILIS. EmptyVen 31 Déc - 2:21

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Aujourd'hui, Charless s'était réveillée avec une étrange impression que quelque chose d'inhabituelle allait se produire! Depuis peu, Charless avait pris un petit emploi en tant que masseuse au Moko Beauty Studio. Elle n'avait pas eu de mal à avoir le job, ses études en médecines ont joué pour beaucoup. La jolie brune avait la permission de glander chez elle jusqu'à quinze heures trente. Il était environ quinze heures de l'après-midi et son rendez-vous venait dans une heure. Elle décida d'y aller tout de suite comme ça elle ne serait pas en retard! Là bas, elle mit sa blouse où il y avait l'insigne de l'institut et posa son badge avec son prénom dans la poche situé au niveau de son cœur. Charless se regarda plusieurs minutes dans le miroir et sortit des vestiaire. Elle s'occupa de la réception, puis alla chercher un café en attendant son rendez-vous. La jolie brune espérait secrètement que ça ne soit pas un petit vieux. Oh dieu qu'elle détestait ça, masser leur peau toute fripée mais elle y était obligée. Alors qu'elle était dans la petite salle de repos, une de ses collègues arriva. « Charless, ton rendez-vous de seize heures est arrivé. » Charless se leva et alla à la rencontre de ce dernier. Inutile de vous dire le choc qu'elle reçut quand elle vit que ça n'était qu'autre que Jailis. Celui qui l'avait humilié deux fois de suite! Elle ne bougeait plus. Sa collègue du, elle-même, emmener Jailis dans la salle où il allait se faire masser pour qu'il puisse se changer, tout en fusillant Charless du regard pour lui faire comprendre qu'elle devait se reprendre. La jolie brune passa une main dans ses cheveux et cligna plusieurs fois des yeux pour voir si elle n'était pas en train de rêver ou plutôt de cauchemarder. Eh bien malheureusement non. Elle se rendit dans la salle de massage où Jailis était déjà allongé une serviette sur les parties génitales. Charless ne le regardait pas, même si lui, il la fixait. Il attendait qu'elle craque. « Qu'est ce que tu fais là, Jailis? » Dit elle en graissant ses mains avec les huiles de massage. Il allait lui répondre, puisqu'il s'appuya sur ses coudes de manière à être face à elle, mais elle le poussa un petit peu ce qui fit qu'il perdit l'équilibre. Il retourna alors à sa position initiale, c'est-à-dire, allongé sur le ventre avec la tête dans le trou de la table pour qu'il puisse tout de même respirer. Elle la lui enfonça à l'intérieur pour qu'il se taise mais surtout pour qu'il ne la regarde pas dans les yeux. Il ne suffirait que de ça pour qu'elle fonde. Elle posa ses mains sur le dos nu de Jailis et commença le massage. Charless ferma les yeux pendant les premières secondes, elle respira à fond mais discrètement pour que Jailis ne se doute pas l'effet qu'il lui faisait. « Pourquoi est-ce que tu ne me fous pas la paix, une bonne fois pour toute?! » En posant cette question, elle appuyait un peu plus fort sur le dos du jeune homme pour lui faire mal. Le mieux c'est qu'elle jura avoir vu une grimace se formée sur le visage de Jailis. La jeune fille sourit, satisfaite. D'un coup, elle repensa aux paroles qu'il lui avait dite plus tôt: "Tu peux baiser qui tu veux ça ne m'atteindra jamais parce que tu représentes trop peu." Elle se demandait pourquoi Jailis était encore là, pourquoi il revenait vers elle alors qu'il lui avait dit tous ces mots cruels. Et si il ne s'en foutais pas autant qu'il le disait. Il suffisait de le vérifier. « Si je représente si peu pour toi, tu te ficheras aussi de savoir que le type avec qui j'ai couché c'est ton cousin, Joan. » Elle voulait lui faire mal, plus qu'il n'avait déjà à cause des petits doigts de Charless.
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Jailis-Keegan Rolling

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MessageSujet: Re: it's not like the movies ✩ JAILIS.   it's not like the movies ✩ JAILIS. EmptyVen 31 Déc - 15:41

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Jailis avait surpris une conversation téléphonique entre Meadow et Charless. Comme à son habitude il ne s’était pas fait prier pour écouter. C’est dans ses moments là qu’il en apprenait toujours des tonnes. En effet, c’est grâce à ce genre de conversation qu’il apprit que Charless s’était vite consolée de Jailis. Un jour. Elle l’avait vite remplacé et s’était empressé d’aller le raconter à Meadow. Puis il avait assisté à ça. S’il aurait su, il aurait probablement mit du Aerosmith à fond pour ne pas entendre de telles médiocrités. Il lui arrivait de faire ça lorsque Meadow parlait à l’un de se petits amis. En effet, il ne supportait déjà pas ses individus, ça n’était pas pour écouter leur conversation salace en plus de cela. Cela étant dit, il y a quelque jours Jailis avait appris car à une conversation téléphonique entre Meadow et Charless que cette dernière travaillait comme masseuse à l’institut de Moko, ou une connerie dans le genre. Allez savoir pourquoi, Jailis eut l’envie puissante d’aller voir ce que devenait la jeune femme. En effet, depuis leurs deux altercations consécutives où le jeune homme avait dit des choses plutôt blessantes qu’il pensait plus ou moins. Tirant tout de même vers le moins. Lorsque l’on a une fierté aussi surdimensionnée que celle de Jailis-Keegan Rolling, il est tout à fait normal d’entendre ce genre de chose sortir de sa bouche. Vous croyez vraiment qu’il allait dire à Charless qu’il n’avait pas eut d’autre fille dans son lit depuis qu’ils s’étaient eux-mêmes adonnée à des pratiques pas très catholiques dans le lit de Meadow. Vous croyiez vraiment qu’il allait lui balancer qu’il s’était senti blessé lorsqu’il avait appris qu’elle avait passé la nuit suivante avec un autre gars ? Bien sûre que non. Il gardait toujours sa dignité dans n’importe qu’elle situation. Mais au final son penchant à changer de fille tous les soirs sans prendre en compte les quelconques sentiments qu’elles pouvaient avoir, s’était retourné contre lui et pour le coup, il le méritait amplement. Maintenant il savait ce que ça faisait d’être aussi vite remplacé et de n’avoir était pris simplement comme un morceau de viande pour assouvir des besoins sexuels. Le karma, me direz-vous. Enfin tout ça pour dire que le jeune homme n’avait pas dit son dernier mot en ce qui concerne Charless. Il voulait lui faire payer. Allez savoir pourquoi il mettait tant d’effort à l’ouvrage mais jamais une fille lui avait fait ça auparavant. Du coup, le jeune homme était comme attiré et n’allait pas lâcher comme ça. Un simple coup de fil et voilà qu’il avait rendez-vous l’après-midi même à quinze heures. Il avait bien insisté pour avoir Charless en tant que masseuse. Et voilà qu’à quinze heures tapantes, le jeune homme se trouvait assis dans la salle d’attente. Il feuilleta rapidement un magazine qui se trouvait sur une table basse. Mais rien de très intéressant, que des trucs de filles. Il soupira puis releva la tête. Charless se trouvait là, juste devant lui, elle ne bougeait plus. L’étonnement qui se lisait sur le visage de Charless fit sourire Jailis à pleine dent. Le genre de sourire complètement fier qui donnait envie de lui donner une paire de claque. Charless était comme paralysé, ce qui força un de ses collègues à venir à la rencontre de Jailis. Ce collègue qui l’emmena aux vestiaires afin de se changer. Il passa à côté de Charless et haussa les sourcils avec son sourire perfide habituel. Une dizaine de minutes plus tard voilà qu’il se trouvait allongé sur la table de massage, pour seul vêtement une misérable serviette histoire de cacher un peu de sa personne. Il vit alors entrer la douce Charless et à nouveau son sourire s’afficha. Il la regarda de haut en bas. « Sexy l’uniforme ! » dit-il alors avec ironie. Il aimait ça la chercher. L’embêter jusqu’à ce qu’elle craque. Jusqu’à ce que ça se finisse comme ça s’était terminé chez Meadow. La jeune femme ne le regardait pas. Elle fuyait son regard le plus qu’elle pouvait. Ce qui amusait davantage Jailis, qui prenait un malin plaisir à la fixer. « Qu'est ce que tu fais là, Jailis? » Lui demanda-t-elle tout en préparant ce qu’il y avait à préparer pour réaliser son massage. Le jeune homme se mit sur les coudes, afin de lui répondre. Il arborait toujours le même sourire. A sa question, il fend de réfléchir. Une chose qui ne lui arrivait décidément pas souvent. Il leva le regard vers le plafond avant de lui répondre : « Et bien, je crois, je ne suis pas sûre hein, que je viens me faire masser. Mais je le répète je n’en suis pas sûre ! » Dit-il alors. Il aimait ça la taquiner, et surtout faire semblant que toute cette situation n’était que pure hasard. Il s’apprêtait à continuer dans sa lancé mais la jeune femme le poussa, lui faisant perdre l’équilibre. Il fut contraint de retrouver sa position d’origine. Ce qui était dommage. Il ne pouvait décemment plus voir le visage de son interlocutrice. Il soupira alors et resta calme, la tête dans l’espace réservé à son visage, afin qu’il ne meurt pas asphyxié par la table de massage. Il se décontracta alors au moment où la jeune femme posa ses mains sur son dos nu. Il fut même, durant quelque seconde, parcourus d’un léger frisson que Charless ne manquerait pas de remarquer. « Pourquoi est-ce que tu ne me fous pas la paix, une bonne fois pour toute?! » Lui dit-elle alors en continuant le massage. A ces paroles, Jailis s’apprêtait à répondre. Seulement il fut coupé par Charless elle-même. Elle appuya si fort qu’il en ressenti une douleur. Il grimaça. Il ne se fit pas prier pour rétorquer quelque chose et cela même s’il était dans l’impossibilité de voir Charless. « Hé doucement, tu me fais mal ! Je vois que tu es aussi doué dans les massages qu’en matière de sexe ! » Dit-il avec son sourire narquois qu’elle ne pouvait pas voir puisque son visage était caché. Lui et les phrases complètements puérils ça faisait deux. Surtout avec Charless qu’il prenait un malin plaisir à pousser à bout. Ce qui s’avéra dommage, c’est qu’il ne pu voir la réaction de cette dernière. Il se contenta de sourire bêtement pour lui-même. Alors que la jeune femme avait repris un massage normal et que le jeune homme commençait à se détendre, la jeune femme reprenait la parole. Paroles qui allaient surement faire pas mal de remue-ménage. « Si je représente si peu pour toi, tu te ficheras aussi de savoir que le type avec qui j'ai couché c'est ton cousin, Joan. » Avait-elle dit. La réaction de Jailis fut immédiate. Il ne se préoccupa pas des sentiments qu’il pouvait lui montrer ou non. Pour le coup, le choc fut complet. Il se leva alors d’un bond en prenant soin de passer sa main sur la serviette, histoire que l’on ne voit pas ses parties. Il fusilla du regard Charless avant de dire : « Joan mon cousin ? Non mais tu te fous de moi là ? » S’écria-t-il alors en se leva de la table et en partant vers le fond de la pièce où se trouvait une porte de sorti. En l’occurrence elle lui avait fait mal et il était difficile de ne pas l’avoir compris. Pour le coup, la colère avait prit le dessus. Il n’avait pas eut le temps d’analyser ses paroles et de sortir une vacherie afin de ne pas montrer sa position sur l’histoire. « Je crois que je n’ai plus rien à faire là ! » dit-il alors avant de lancer un dernier regard à Charless. Un regard des plus noir. Il ouvrit alors la porte qui menait on ne sait où. Dans la salle du personnel. Super. Jailis soupira et traversa la salle en serviette. Tout le personnel le regardait à la fois surpris et amusé par ce qu’il se passait. Jailis se tourna une dernière fois. Le fait de se balader cul nue dans la salle du personnel n’avait fait que renforcer son énervement. Il regarda Charless. « Et sache que tu es descendu bien bas Charless ! Coucher avec un mec qui t’as trompé avec toute la ville c’est pas glorieux ! » Dit-il de la façon la plus méchante qu’il pouvait. Voilà qu’il retrouvait ses petites méchancetés qui savaient faire mal. Puis il se tourna vers le personnel qui était à la limite de rire. Il leva les yeux au ciel avant de leur crier : « Et puis vous, au lieu de rire, vous feriez bien de me dire où est-ce que je pourrais me changer ! » Une jeune femme lui indiqua alors un endroit du doigt. Il y alla alors afin de retrouver un peu de dignité. Il se retrouva alors aux vestiaires. Vestiaires qui étaient vides.
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Charless-Evvie Ainsworth

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MessageSujet: Re: it's not like the movies ✩ JAILIS.   it's not like the movies ✩ JAILIS. EmptyDim 2 Jan - 18:02

Charless continuait de toucher le dos nu de Jailis. Evidemment quand il sentait la douleur qu’elle lui donnait, il ne pu s’empêcher de lui balancer une petite pique. « Hé doucement, tu me fais mal ! Je vois que tu es aussi doué dans les massages qu’en matière de sexe ! » Qu’est-ce qu’il pouvait l’agacer. Elle aurait voulu lui faire encore plus mal, mais il fallait tout de même se contrôler… Charless se contenta de se taire. Le silence s’installa que quelques secondes puisque la réaction de Jailis sur le fait que Charless avait couché avec Joan ne se fit pas attendre ! Jailis avait l’air furieux, elle ne l’avait jamais vu dans cet état ! Elle qui pensait vraiment compter que très peu pour le jeune homme venait de se rendre compte qu’elle avait nettement plus d’importance finalement. La jeune fille fut tout de même étonnée de ce curieux comportement si soudain. « Joan mon cousin ? Non mais tu te fous de moi là ? » Avait-il dit en se relevant brusquement. Si brusquement que Charless en eut presque peur. « Qu’est-ce que ça peut te faire ? Tu as bien dit que je pouvais le faire avec qui j’en avais envie ! » C’était la seule réponse qu’elle trouva. Sur le coup, elle avait honte d’avoir couché avec lui, mais encore plus de l’avoir avoué comme ça à Jailis. En attendant, elle était persuadée qu’il allait éclater de rire et lui dire qu’il n’en avait complètement rien à faire. « Faudrait peut-être savoir ce que tu veux ! » Dit elle alors que Jailis était descendu de la table de massage avec la serviette, puis se dirigea vers la porte du fond qui n’était pas vraiment la sortie, enfin si mais pas celle des clients. Elle l’aurait bien prévenu mais autre chose la préoccupait. « Je crois que je n’ai plus rien à faire là ! » Dit il avant de prendre la porte et se retrouver dans la salle du personnel. Cependant avant de sortir, il lui lança le plus noir des regards. Ils avaient pris l’habitude d’être méchants l’un envers l’autre, mais cette fois, ça n’était plus un jeu. Il lui en voulait vraiment d’être retombée dans les griffes de Joan pour une nuit. Une nuit de trop visiblement. Charless le suivit, elle venait tout juste de prendre conscience qu’il était en simple serviette qui ne recouvrait pas ses fesses et qu’il était entouré de quelques uns de ses collègues. « Et sache que tu es descendu bien bas Charless ! Coucher avec un mec qui t’as trompé avec toute la ville c’est pas glorieux ! » On pourrait croire que cette situation l’aurait rendu muet de toutes remarques peu avantageuses mais non. Jailis était indestructible, il pouvait survivre à tout. Voilà pourquoi cette remarque cinglante. Elle aurait voulu lui enlever sa serviette pour qu’il subisse une humiliation digne de celle qu’il venait de lui infliger à l’instant. Au lieu de ça, elle préféra fermer les yeux pour ne pas subir les regards abasourdis de ses collègues. Quand elle les ouvrit, elle s’approcha doucement dans le calme de Jailis et lui chuchota. « Ça c’est mon problème. Tu n’as pas à te mêler de ça ! J’ai couché avec lui par ta faute ! Si tu ne me poussais pas à bout à chaque fois qu’on se voit peut-être que je n’aurai jamais eu envie de t’embrasser et donc de retourner auprès de Joan. » Voilà qui était clair. Bien sur que non, tout n’était pas la faute de Jailis ! Mais Charless aimait croire que c’était le cas, qu’elle n’avait aucune responsabilité dans cette histoire mise à part celle d’avoir posé en premier ses lèvres sur celle du jeune homme. Elle cherchait simplement à fuir toute responsabilité afin de n'avoir rien à se reproché. Autour d’eux, les autres riaient silencieusement, pensant que personne ne les entendait. Jailis s’écria alors. « Et puis vous, au lieu de rire, vous feriez bien de me dire où est-ce que je pourrais me changer ! » A vrai dire, toute personne normalement constituée se serait mise à éclater de rire en voyant la tenue de Jailis… Même Charless, mais étant donné de la situation qui régnait entre eux, il n’y avait pas de quoi rire ! Jailis allait se venger, si il ne se calmait pas en sortant de l’institut. Une de ses collègues lui montra les vestiaires en se retenant de pouffer de rire. Il y alla sans même regarder Charless. Celle-ci leur jeta un regard noir, avant de suivre Jailis dans les vestiaires, qui avait mis son caleçon entre temps. « Mais enfin, qu’est-ce qui va pas chez toi ?! » Elle pouvait crier autant qu’elle voulait puisque l’endroit où ils se trouvaient était vide. Ce qui était une bonne nouvelle étant donné qu’elle commençait à perdre son sang-froid. Elle s’assit sur un banc, fixait Jailis et attendit qu’il lui donne une réponse qui justifierait ce comportement qui la laissait de plus en plus à penser que Jailis ressentait quelque chose ! Elle qui avait toujours été convaincue qu’il ne possédait pas de cœur, là elle pouvait aller se cacher parce que de toute évidence il en avait un, et même peut-être un gros. Jailis restait silencieux, il se contentait de s’habiller ne prêtant même pas un regard à Charless. Cette dernière soupira, se leva et se dirigea vers la porte par laquelle elle était entrée quand elle fut coupée par un son. La voix de Jailis qui avait enfin décidé de dire quelque chose, encore faut-il que ce quelque chose soit intelligent.
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